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1.
CJC Open ; 4(10): 894-904, 2022 Oct.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-2061000

ABSTRACT

Background: Although we had previously reported the cardiac and neurologic outcomes of Chinese and South Asian Ontarians in wave 1 of COVID-19, data on subsequent waves of COVID-19 remain unexamined. This is an extension study of this cohort in waves 2 and 3. Methods: We identified adult Ontarians with a positive COVID-19 polymerase chain reaction test from January 1, 2020 to June 30, 2021, and they were classified as being Chinese or South Asian using a validated surname algorithm; we compared their outcomes of mortality, and cardiac and neurologic complications with those of the general population using multivariable logistic regression models. Results: Compared to the general population (n = 439,977), the Chinese population (n = 15,208) was older (mean age 44.2 vs 40.6 years, P < 0.001) and the South Asian population (n = 46,333) was younger (39.2 years, P < 0.001). The Chinese population had a higher 30-day mortality (odds ratio [OR] 1.44; 95% confidence interval [CI] 1.28-1.61) and more hospitalization or emergency department visits (OR, 1.14; 95% CI, 1.09-1.28), with a trend toward a higher incidence of cardiac complications (OR, 1.03; 95% CI, 0.87-1.12) and neurologic complications (OR, 1.23; 95% CI, 0.96-1.58). South Asians had a lower 30-day mortality (OR, 0.88; 95% CI, 0.78-0.98) but a higher incidence of hospitalization or emergency department visits (OR, 1.17; 95% CI, 1.14-1.20) with a trend toward a lower incidence of cardiac complications (OR, 0.76; 95% CI, 0.67-0.87) and neurologic complications (OR, 0.89; 95% CI, 0.73-1.09). There was also a significant difference in these outcomes between wave 1, 2 and 3, with a greater mortality in all groups in waves 2 and 3. Conclusions: Ethnicity continues to be an important determinant of mortality, cardiac and neurologic outcomes, and healthcare use among patients with COVID-19, requiring further studies to understand factors driving these differences.


Contexte: Nous avons déjà présenté les issues cliniques cardiaques et neurologiques chez les Ontariens de descendance chinoise ou sud-asiatique pour la première vague de la pandémie de COVID-19, mais les données au sujet des vagues ultérieures n'avaient pas encore été analysées. Nous présentons ici une prolongation de cette étude de cohortes pour la seconde et la troisième vague de COVID-19. Méthodologie: Notre analyse porte sur des adultes ontariens ayant obtenu un résultat positif à un test de COVID-19 par réaction en chaîne de la polymérase entre le 1er janvier 2020 et le 30 juin 2021. Un algorithme validé pour l'analyse des noms de famille a été utilisé pour isoler les sujets de descendance chinoise ou sud-asiatique, et leur taux de mortalité de même que les complications cardiaques et neurologiques ont été comparés à ceux de la population générale à l'aide de modèles de régression logistique multivariée. Résultats: En comparaison de la population générale (n = 439 977), les personnes de descendance chinoise (n = 15 208) se sont révélées plus âgées (âge moyen de 44,2 ans contre 40,6 ans, P < 0,001), tandis que les personnes de descendance sud-asiatique (n = 46 333) étaient plus jeunes (39,2 ans, P < 0,001). Dans la population de descendance chinoise, le taux de mortalité après 30 jours était plus élevé (rapport de cotes [RC] de 1,44; intervalle de confiance [IC] à 95 % de 1,28 à 1,61), et davantage d'hospitalisations ou de consultations aux urgences sont survenues (RC de 1,14; IC à 95 % de 1,09 à 1,28). L'incidence de complications cardiaques (RC de 1,03; IC à 95 % de 0,87 à 1,12) et de complications neurologiques (RC de 1,23; IC à 95 % de 0,96 à 1,58) avait également tendance à être plus élevée. Chez les personnes de descendance sud-asiatique, le taux de mortalité après 30 jours était plus faible (RC de 0,88; IC à 95 % de 0,78 à 0,98), mais l'incidence d'hospitalisations ou de consultations aux urgences était plus élevée (RC de 1,17; IC à 95 % de 1,14 à 1,20). Elles présentaient également une tendance vers une plus faible incidence de complications cardiaques (RC de 0,76; IC à 95 % de 0,67 à 0,87) et de complications neurologiques (RC de 0,89; IC à 95 % de 0,73 à 1,09). Des différences significatives ont également été observées pour ces paramètres entre les vagues 1, 2 et 3 de la maladie, et le taux de mortalité était plus élevé pour tous les groupes des vagues 2 et 3. Conclusions: L'origine ethnique demeure un déterminant important de la mortalité, des issues cliniques cardiaques et neurologiques ainsi que de l'utilisation des ressources en santé chez les patients atteints de la COVID-19. D'autres études sont toutefois nécessaires pour mieux comprendre les facteurs qui expliquent ces différences.

2.
CJC Open ; 3(10): 1230-1237, 2021 Oct.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1482502

ABSTRACT

BACKGROUND: It is not known if initial reductions in hospitalization for stroke and myocardial infarction early during the coronavirus disease-2019 pandemic were followed by subsequent increases. We describe the rates of emergency department visits for stroke and myocardial infarction through the pandemic phases. METHODS: We used linked administrative data to compare the weekly age- and sex-standardized rates of visits for stroke and myocardial infarction in Ontario, Canada in the first 9 months of 2020 to the mean baseline rates (2015-2019) using rate ratios (RRs) and 95% confidence intervals (CIs). We compared care and outcomes by pandemic phases (pre-pandemic was January-March, lockdown was March-May, early reopening was May-July, and late reopening was July-September). RESULTS: We identified 15,682 visits in 2020 for ischemic stroke (59.2%; n = 9279), intracerebral hemorrhage (12.2%; n = 1912), or myocardial infarction (28.6%; n = 4491). The weekly rates for stroke visits in 2020 were lower during the lockdown and early reopening than at baseline (RR 0.76, 95% CI [0.66, 0.87] for the largest weekly decrease). The weekly rates for myocardial infarction visits were lower during the lockdown only (RR 0.61, 95% CI [0.46, 0.77] for the largest weekly decrease), and there was a compensatory increase in visits following reopening. Ischemic stroke 30-day mortality was increased during the lockdown phase (11.5% pre-coronavirus disease; 12.2% during lockdown; 9.2% during early reopening; and 10.6% during late reopening, P = 0.015). CONCLUSION: After an initial reduction in visits for stroke and myocardial infarction, there was a compensatory increase in visits for myocardial infarction. The death rate after ischemic stroke was higher during the lockdown than in other phases.


CONTEXTE: Nous ignorons si les réductions des taux d'hospitalisations pour un AVC et un infarctus du myocarde observées au début de la pandémie de coronavirus de 2019 ont été suivies d'une hausse de ces taux. Nous décrivons ici les taux de visites aux services des urgences pour un AVC et un infarctus du myocarde pendant toutes les phases de la pandémie. MÉTHODES: À partir de données administratives couplées, nous comparons les taux hebdomadaires de visites pour un AVC et un infarctus du myocarde, normalisés en fonction de l'âge et du sexe, en Ontario, au Canada, effectuées pendant les neuf premiers mois de 2020, avec les taux moyens de base (2015-2019), en utilisant des ratios des taux (RR) et des intervalles de confiance (IC) à 95 %. Nous avons comparé les soins et les issues selon les phases de la pandémie (avant la pandémie : de janvier à mars; confinement : de mars à mai; début de la réouverture : de mai à juillet; phase tardive de la réouverture : de juillet à septembre). RÉSULTATS: Nous avons répertorié 15 682 visites effectuées en 2020 pour un AVC ischémique (59,2 %; n = 9 279), une hémorragie intracérébrale (12,2 %; n = 1 912) ou un infarctus du myocarde (28,6 %; n = 4 491). Les taux hebdomadaires de visites pour un AVC effectuées en 2020 étaient inférieurs pendant la période de confinement et le début de la réouverture comparativement à la période de base (RR : 0,76; IC à 95 % : 0,66-0,87 pour la plus grande baisse hebdomadaire). Les taux hebdomadaires de visites pour un infarctus du myocarde étaient inférieurs pendant la période de confinement seulement (RR : 0,61; IC à 95 % : 0,46-0,77 pour la baisse hebdomadaire la plus importante); une hausse compensatrice du nombre de visites a été notée après la réouverture. Le taux de mortalité à 30 jours des suites d'un AVC ischémique était plus élevé pendant la période de confinement (11,5 % avant la pandémie de coronavirus; 12,2 % pendant le confinement; 9,2 % au début de la période de réouverture; 10,6 % pendant la phase tardive de la réouverture, p = 0,015). CONCLUSION: Après une réduction initiale du nombre de visites motivées par un AVC et un infarctus du myocarde, on a noté une hausse compensatrice du nombre de visites motivées par un infarctus du myocarde. Le taux de mortalité des suites d'un AVC ischémique était plus élevé pendant la période de confinement que pendant les autres périodes.

3.
J Am Geriatr Soc ; 69(6): 1429-1440, 2021 06.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1216749

ABSTRACT

BACKGROUND/OBJECTIVES: Virtual (i.e., telephone or videoconference) care was broadly implemented because of the COVID-19 pandemic. Our objectives were to compare the diagnostic accuracy of virtual to in-person cognitive assessments and tests and barriers to virtual cognitive assessment implementation. DESIGN: Systematic review and meta-analysis. SETTING: MEDLINE, EMBASE, CDSR, CENTRAL, PsycINFO, and gray literature (inception to April 1, 2020). PARTICIPANTS AND INTERVENTIONS: Studies describing the accuracy or reliability of virtual compared with in-person cognitive assessments (i.e., reference standard) for diagnosing dementia or mild cognitive impairment (MCI), identifying virtual cognitive test cutoffs suggestive of dementia or MCI, or describing correlations between virtual and in-person cognitive test scores in adults. MEASUREMENTS: Reviewer pairs independently conducted study screening, data abstraction, and risk of bias appraisal. RESULTS: Our systematic review included 121 studies (15,832 patients). Two studies demonstrated that virtual cognitive assessments could diagnose dementia with good reliability compared with in-person cognitive assessments: weighted kappa 0.51 (95% confidence interval [CI] 0.41-0.62) and 0.63 (95% CI 0.4-0.9), respectively. Videoconference-based cognitive assessments were 100% sensitive and specific for diagnosing dementia compared with in-person cognitive assessments in a third study. No studies compared telephone with in-person cognitive assessment accuracy. The Telephone Interview for Cognitive Status (TICS; maximum score 41) and modified TICS (maximum score 50) were the only virtual cognitive tests compared with in-person cognitive assessments in >2 studies with extractable data for meta-analysis. The optimal TICS cutoff suggestive of dementia ranged from 22 to 33, but it was 28 or 30 when testing was conducted in English (10 studies; 1673 patients). Optimal modified TICS cutoffs suggestive of MCI ranged from 28 to 31 (3 studies; 525 patients). Sensory impairment was the most often voiced condition affecting assessment. CONCLUSION: Although there is substantial evidence supporting virtual cognitive assessment and testing, we identified critical gaps in diagnostic certainty.


Subject(s)
Cognition Disorders/diagnosis , Neuropsychological Tests/standards , Humans , Mental Status and Dementia Tests/standards , Telecommunications , Telemedicine
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